mardi 10 avril 2012
La reine Hortense..une femme musicienne
À l’encontre de sa mère, la reine Hortense possédait de réels talents pour la musique. Ils avaient été développés lors de son passage dans la maison d’éducation de Madame Campan à Saint-Germain-en-Laye. On y enseignait les arts d’agrément comme le solfège, le piano-forte, la harpe et le chant dans lesquels la jeune fille excellait. Elle eut entre autres professeurs le violoniste Jean-Jacques Grasset et le compositeur Charles-Henri Plantade pour lui enseigner le chant. Parmi ses compagnes figuraient, notamment, sa cousine Stéphanie de Beauharnais qui deviendra grande-duchesse de Bade, les deux sœurs de Napoléon, Caroline et Pauline, la future maréchale Ney, ainsi que de nombreuses autres jeunes filles, plus tard duchesses, générales ou dames du Palais du nouveau régime et qui tiendront, elles aussi, des salons musicaux dans leurs demeures.
In les salons musicaux sous l'empire par Bernard Chevalier
Livre en vente 65 euros nous contacter styledelivre@gmail.com
jeudi 10 novembre 2011
vendredi 1 juillet 2011
Norbert Goeneutte..Le Stradivarius...
Eau-forte de Felix Augustin Millus (1843-1894) d'après le tableau du peintre impressionniste Norbert Goeneutte (1854-1894)-imprimerie A. Salmon
1881-publiée dans la revue l' Art du 14 août.(format 31*44 cm -gravure 19*24)
1881-publiée dans la revue l' Art du 14 août.(format 31*44 cm -gravure 19*24)
Parfait état non encadrée.
Prix port compris : 220 euros
Prix port compris : 220 euros
jeudi 12 mai 2011
mardi 19 avril 2011
Correspondance de François Dallet (1914-1940)- Ecrivain né à Nantes-Secrétaire général de DENOËL
Merci à la librairie "La Sirène " à Ostende |
17 lettres en vente-1938-1939 L'auteur y cite Denoël,Simenon, Aragon, Morvan Lebesque, le libraire Coiffard etc...
lundi 11 avril 2011
lundi 27 décembre 2010
mercredi 30 juin 2010
Pays de la Loire>>Nantes Angers : Terroirs et recettes
Vendu à un gourmet angevin.. (de Brain sur Longuenée..le malin peut-être ?) >>>>Beurres blancs et Saumur Champigny...Rabelais pas loin
mercredi 26 mai 2010
jeudi 29 avril 2010
Décès de Pierre Hadot..dans Livres Hebdo
Le décès du philosophe Pierre Hadot
Publié le 27 avril 2010 par ag
Publié chez Albin Michel, l’historien de la philosophie, grand connaisseur des écoles de pensée hellénistiques et romaines, venait de faire l’objet d’un livre-hommage aux éditions Rue d’Ulm.
Décédé samedi 24 avril à 88 ans, l’historien de la philosophie Pierre Hadot était internationalement reconnu pour ses travaux consacrés au néoplatonisme et au stoïcisme impérial (Epictète, Marc Aurèle).
Directeur à l’Ecole pratique des hautes études (aujourd’hui EHESS) de 1964 à 1986, et professeur au Collège de France depuis 1982, il avait tiré de sa longue fréquentation des auteurs antiques la conviction que la philosophie se définit avant tout comme “manière de vivre”, et ne peut se réduire à un jeu conceptuel purement théorique et désintéressé.
Pierre Hadot a développé cette approche originale dans trois ouvrages : Exercices spirituels et philosophie antique (publié dans la Collection des études augustiniennes en 1981, réédité en 2002 par Albin Michel), La philosophie comme manière de vivre (Albin Michel, 2001) et N’oublie pas de vivre : Goethe et la tradition des exercices spirituels (Albin Michel, 2008).
La dernière apparition en public du philosophe remonte au 12 avril, où il participait à une rencontre-débat organisée à la bibliothèque de l’Ecole normale supérieure de Paris autour d’un ouvrage collectif paru le 18 mars aux éditions Rue d’Ulm, qui lui était dédié : Pierre Hadot, l’enseignement des antiques, l’enseignement des modernes.
Le ministre de la culture Frédéric Mitterrand a rendu hommage à Pierre Hadot en saluant son “étonnante érudition” et “son incessant retour à ces grands penseurs de l’Antiquité dont il savait si bien montrer les ressources pour notre modernité”.
Publié le 27 avril 2010 par ag
Publié chez Albin Michel, l’historien de la philosophie, grand connaisseur des écoles de pensée hellénistiques et romaines, venait de faire l’objet d’un livre-hommage aux éditions Rue d’Ulm.
Décédé samedi 24 avril à 88 ans, l’historien de la philosophie Pierre Hadot était internationalement reconnu pour ses travaux consacrés au néoplatonisme et au stoïcisme impérial (Epictète, Marc Aurèle).
Directeur à l’Ecole pratique des hautes études (aujourd’hui EHESS) de 1964 à 1986, et professeur au Collège de France depuis 1982, il avait tiré de sa longue fréquentation des auteurs antiques la conviction que la philosophie se définit avant tout comme “manière de vivre”, et ne peut se réduire à un jeu conceptuel purement théorique et désintéressé.
Pierre Hadot a développé cette approche originale dans trois ouvrages : Exercices spirituels et philosophie antique (publié dans la Collection des études augustiniennes en 1981, réédité en 2002 par Albin Michel), La philosophie comme manière de vivre (Albin Michel, 2001) et N’oublie pas de vivre : Goethe et la tradition des exercices spirituels (Albin Michel, 2008).
La dernière apparition en public du philosophe remonte au 12 avril, où il participait à une rencontre-débat organisée à la bibliothèque de l’Ecole normale supérieure de Paris autour d’un ouvrage collectif paru le 18 mars aux éditions Rue d’Ulm, qui lui était dédié : Pierre Hadot, l’enseignement des antiques, l’enseignement des modernes.
Le ministre de la culture Frédéric Mitterrand a rendu hommage à Pierre Hadot en saluant son “étonnante érudition” et “son incessant retour à ces grands penseurs de l’Antiquité dont il savait si bien montrer les ressources pour notre modernité”.
mercredi 27 janvier 2010
mercredi 30 décembre 2009
500 eme visiteur...
Laissez vos coordonées avec une copie d'écran styledelivre@gmail.com
Cadeau en vue..merci de vos commentaires.
Georges
Cadeau en vue..merci de vos commentaires.
Georges
D'encres et de lumières..exemplaire de la bibliothèque de Julien Gracq
Résumé :
D'encre et de Lumières nous trace un chemin original pour pénétrer dans l'Histoire de France et raconter des histoires aux Français. Des itinéraires secrets nous emmènent dans des collections uniques de gravures, d'estampes, de plans, de dessins, de reliures prestigieuses, de recueils d'expéditions et atlas de voyages, d'éditions originales, de collections de plaquettes et pamphlets, d'archives, de correspondances et comptes rendus de grands procès, de photographies, qui font de la bibliothèque du Sénat l'une des plus belles bibliothèques de France. Le Sénat ou le palais du Luxembourg ont été l'objet de plusieurs publications privilégiant les ors du palais et la beauté du jardin. Pour la première fois, nous pénétrons au sein de cette bibliothèque inconnue, pas seulement les galeries, la coupole de Delacroix, les reflets de la lumière du grand bassin sur les livres, mais une collection unique de 400 000 volumes qui a débuté sous le Sénat conservateur du 1er Empire, a été enrichie par la Chambre des pairs, sous la Restauration, puis régulièrement complétée par le Sénat impérial et républicain.
C'est à travers l'éclectisme des collections et suivant un parcours chronologique qu'ont été choisis 54 trésors qui racontent la vie des Français et l'histoire du livre. Depuis l'Antiquité; avec les recueils de gravures de Piranèse ou Clérisseau, jusqu'à l'hommage national à Braque en passant par le Sacre de Louis XV, les libelles révolutionnaires, les caricatures inédites des pairs de France ; les manuscrits de Victor Hugo, de Jean Jaurès ou les photos du reboisement de la France. On a demandé à des sénateurs tels que Christian Poncelet, René Carrec, Michel Charasse, Pierre Mauroy, Robert Badinter, jean François-Poncet, Catherine Tasca ou Jack Ralite, à des auteurs aussi prestigieux qu'Henri Amouroux, Elisabeth Badinter et Antoine Lefébure, à des historiens de l'art comme Arlette Sérullaz et Antoine Pérouse de Montclos, à des historiens tels que Jean Tulard, Michel Vovelle ou Emmanuel de Waresquiel, au journaliste Philippe Cavi, mais aussi à des spécialistes de présenter ces livres, manuscrits ou dessins, ou plutôt de nous les faire revivre sous la direction de Frédéric d'Agay, historien. Ils sont illustrés par des photographies de Jérémie Bouillon qui nous plongent dans la sensualité des papiers, des reliures et des encres.
D'encre et de Lumières nous trace un chemin original pour pénétrer dans l'Histoire de France et raconter des histoires aux Français. Des itinéraires secrets nous emmènent dans des collections uniques de gravures, d'estampes, de plans, de dessins, de reliures prestigieuses, de recueils d'expéditions et atlas de voyages, d'éditions originales, de collections de plaquettes et pamphlets, d'archives, de correspondances et comptes rendus de grands procès, de photographies, qui font de la bibliothèque du Sénat l'une des plus belles bibliothèques de France. Le Sénat ou le palais du Luxembourg ont été l'objet de plusieurs publications privilégiant les ors du palais et la beauté du jardin. Pour la première fois, nous pénétrons au sein de cette bibliothèque inconnue, pas seulement les galeries, la coupole de Delacroix, les reflets de la lumière du grand bassin sur les livres, mais une collection unique de 400 000 volumes qui a débuté sous le Sénat conservateur du 1er Empire, a été enrichie par la Chambre des pairs, sous la Restauration, puis régulièrement complétée par le Sénat impérial et républicain.
C'est à travers l'éclectisme des collections et suivant un parcours chronologique qu'ont été choisis 54 trésors qui racontent la vie des Français et l'histoire du livre. Depuis l'Antiquité; avec les recueils de gravures de Piranèse ou Clérisseau, jusqu'à l'hommage national à Braque en passant par le Sacre de Louis XV, les libelles révolutionnaires, les caricatures inédites des pairs de France ; les manuscrits de Victor Hugo, de Jean Jaurès ou les photos du reboisement de la France. On a demandé à des sénateurs tels que Christian Poncelet, René Carrec, Michel Charasse, Pierre Mauroy, Robert Badinter, jean François-Poncet, Catherine Tasca ou Jack Ralite, à des auteurs aussi prestigieux qu'Henri Amouroux, Elisabeth Badinter et Antoine Lefébure, à des historiens de l'art comme Arlette Sérullaz et Antoine Pérouse de Montclos, à des historiens tels que Jean Tulard, Michel Vovelle ou Emmanuel de Waresquiel, au journaliste Philippe Cavi, mais aussi à des spécialistes de présenter ces livres, manuscrits ou dessins, ou plutôt de nous les faire revivre sous la direction de Frédéric d'Agay, historien. Ils sont illustrés par des photographies de Jérémie Bouillon qui nous plongent dans la sensualité des papiers, des reliures et des encres.
mercredi 30 septembre 2009
Né gosse de riche..Gwen -Ael Bolloré raconte son enfance à Nantes
"Une autre année, j'avais oublié à Paris mon chien en peluche, Médor. Comme j'avais du chagrin, mes parents ont envoyé la femme de chambre le chercher. Un aller-retour Montreux-Paris-Montreux ! C'étaient de très bon parents, mais j'ai été vraiment très mal élevé."
En lui-même, ce livre est une rareté : les pauvres étant infiniment plus nombreux que les riches, l'enfance des riches a beaucoup moins nourri la littérature que celle des pauvres.
Né gosse de riche, Gwenn-Aël Bolloré, héritier des "rois du papier à cigarette", ouvre ici le coffre-fort de sa mémoire. A l'intérieur, un album de famille et des richesses qui ne sont pas seulement matérielles.
Ses croquis évoquent délicieusement les vignettes des illustrés d'antan, dessinées à la plume et rehaussées au crayon de couleur. Ironique et tendre, drôle et grave quand il le faut, il ne se contente pas de de jouer les Pim-Pam-Poum aux dépens de ses précepteurs, mais dit aussi, avec lucidité et en toute simplicité, le privilège de n'avoir manqué de rien, privilège que le jeune garçon a accepté (quel enfant l'aurait refusé ?) mais dont l'adulte n'a jamais abusé.
Gwen-Aël Bolloré aurait pu rester les deux pieds dans le même sabot doré. Ce n'était pas son genre. En fréquentant les humbles comme les puissants, il est devenu ce qu'il était déjà en naissant à Ergué-Gaberic en 1925 : un honnête homme, combattant de la France Libre 17 ans, industriel (vice-président des Papeteries Bolloré), éditeur (pendant quatre décennies, président de la Table Ronde), navigateur, océanographe, écrivain et poète, auteur d'une vingtaine d'ouvrages en grande parties inspirés par le monde maritime.
jeudi 10 septembre 2009
Marcel Temporal 1942..la bible du marionnettiste..dixit André Tahon
mercredi 9 septembre 2009
Price Minister...
Et aussi sur le groupe PriceMinister : Livres, Livres anciens, Location De Voiture
jeudi 28 mai 2009
Rouen :musée des antiquités de la Seine inférieure 1923
Rouen, 1923, in-8, XV-158-(1) pages, 121 figures dans le texte, 16 planches hors texte, broche
En bon état 14,5*21,5cm
par Jules Vernier http://cths.fr/an/prosopo.php?id=1590
Rouen, 1923, in-8, XV-158 pages, 121 figures dans le texte, 16 planches hors texte, broche
Ce guide est considéré en 1925 "comme un modèle du genre par le nombre des illustrations et la qualité du texte"
Belle introduction à l'histoire de l'art et à l'archéologie Normande
mercredi 27 mai 2009
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